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Le bilan du projet 

Le site internet et la campagne orchestrés par Amnesty International ont dévoilé une utilisation massive de la technologie de reconnaissance faciale  sur les communautés noires et les communautés minoritaires. Ces propos ont été illustré par un usage intensif de celles-ci lors des manifestations de Black Lives Matter en 2020. 
 
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Les travaux de l'ONG ont montré que les quartiers du Bronx, de Brooklyn et du Queens étaient identifiés comme les quartiers les plus surveillés. 
Par exemple, entre Crotona Avenue et Hoe Avenue, 20% du chemin emprunté par un individu était exposé aux caméras de surveillance. Néanmoins, certains lieux vus comme très exposés ont peu de caméras. C'est le cas du quartier de Hoe Avenue, dans le Bronx, où une seule caméra est installée. Des disparités sont donc présentes à l'intérieur même des quartiers répertoriés par Amnesty.
Nous avons d'ailleurs essayé de contacter la mairie de New York pour qu'elle réagisse à la controverse autour des caméras de surveillance dans la ville. Notre démarche n'a malheureusement pas abouti. 
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Depuis novembre 2021, Amnesty International appelle à bannir la reconnaissance faciale à New York en s’appuyant sur le soutien de plusieurs législateurs, ainsi que sur une pétition. Cependant, pour l’heure, la reconnaissance faciale à NYC est toujours présente dans les rues. 
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